Je me réfère bien sûr ici, à une origine “mythologique”, mythologie contemporaine qui reprend , bien sûr la thématique d’ anciennes mythologies … c’est le propre de toute “mythologie” que de s’assigner ainsi quelque “origine légendaire” , avant que quelque “LOGOS”, ne vienne se substituer à l’ ancienneté supposée du “MYTHOS” .
On verra par la suite, que le mythe ainsi convoqué n’est pas n’importe quel mythe, concernant les rapports mêmes du MYTHE et de la RAISON, avec la question de la substitution de l’ ARTIFICE de la RAISON à la supposée NATURALITÉ du MYTHE.
Ainsi donc, une Origine purement “mythologique” de notre personnage prénommé “Delila”, en une date “mémorable” rétroactivement attribuée ( au 20 / 05 / 2005 ) pour des “raisons” de symétrie évidente et facile ( le chiffre 2 étant “de plus”, d’une écriture plus ou moins “symétrique” à celle du chiffre 5 … : “surdétermination” ), vient prendre “naissance” ou “racine”, dans un très ancien mythe grec, celui des aventures de Pasiphae ( plus connues comme étant celles de “Thésée , d’ Ariane, et du Minotaure … ” )
Pour attester de la date de naissance de “Délila”, dans cette grande famille d’origine “crétoise” ( celle du fameux paradoxe du menteur ) , je convoque pour commencer le témoignage d’une ancienne page de doctes études menées par Jean-Claude Bourdais juste le mois précédent ( avril 2005 ), au moment où un échange entre lui et Vincent Cordebard participait à l’ établissement ( ou “instabulation” voire “instabullation” ) des fameuses “tables” d’une “installation” mise en scène par Vincent Cordebard et Philippe Agostini , en mai et juin 2005 dans la “Salle C” de l’ antenne de Chaumont de l’ IUFM de Reims.
Divers témoignages peuvent encore aujourd’hui, attester de l’existence “réelle” de cette “installation” ( que j’ ai nommée par la suite “instabulation” ).
La page de Jean-Claude Bourdais en question se trouve ici :
http://www.jcbourdais.net/journal/22avr05.php
La date de cette étude concernant “les amours de Pasiphae” est attestée du 22 avril 2005.
L'”instabulation” mise en scène par Vincent Cordebard en mai-juin 2005 à l’IUFM de CHAUMONT s’intitulait “Comment escalader l’ Everest” , mais il faudrait revenir en détail sur les liens entre la mythe de Pasiphae et du Minotaure, et la question d’une certaine “Escalade” ( dont une variante phonétique se disait “Est-ce qu’ à Lade ?” , et bien sûr en quoi la “Grande Pasi” pouvait incarner des Restes d’ EVE ( ou les “rêvalités nouvelles” de quelque “art post-contemporain” … )